Adaface Sample French Questions

La vie d'une auteure est souvent un voyage passionnant, marqué par des hauts et des bas, des moments de doute et de succès éclatants. Cet itinéraire particulier offre un aperçu de la persévérance, de la créativité et de l'amour pour les mots.Depuis son jeune âge, cette écrivaine avait un goût prononcé pour l'écriture. Ses cahiers étaient remplis de poèmes, d'histoires imaginaires et de réflexions sur le monde qui l'entourait. Elle a décidé de poursuivre sa passion pour l'écriture en suivant des études littéraires, mais la route était semée d'embûches.La vie d'auteure est faite de rejets éditoriaux, de critiques constructives et d'heures passées à perfectionner son art. Pourtant, elle a persévéré, refusant de laisser les obstacles l'arrêter. Elle a écrit de nombreux manuscrits avant de trouver enfin un éditeur qui a cru en son talent.

Avec le temps, ses écrits ont gagné en reconnaissance, touchant les cœurs de lecteurs du monde entier. Ses romans ont été traduits dans plusieurs langues, et elle a été invitée à des salons du livre et des conférences littéraires prestigieuses.Mais le succès ne l'a pas changée. Elle reste une écrivaine humble, dévouée à son art et soucieuse de partager ses connaissances avec les jeunes écrivains en herbe. Elle encourage la créativité et la diversité dans l'écriture, affirmant que chaque voix est unique et mérite d'être entendue. Au fil des ans, cette auteure a laissé un héritage durable dans le monde de la littérature. Son parcours est une source d'inspiration pour ceux qui aspirent à donner vie à leurs histoires et à toucher le cœur des lecteurs avec leurs mots. Quelle qualité est mise en évidence dans le parcours de cette auteure qui l'a aidée à surmonter les défis et à atteindre le succès?

Quel mot convient le mieux pour compléter cette phrase ? 

J'aime lire des livres __________ aident à développer mon vocabulaire __________ il y a beaucoup d’illustrations. J’ai prêté des livres  __________ tu m’a parlé. 

Lisez le paragraphe suivant et choisissez les vraies options:

Et, en France, la classe politique pourrait bien ressembler, tout du moins en nombre d'années, à un « pouvoir gris ». Plus de la moitié des sénateurs ont plus de 60 ans, l'âge moyen des maires de communes de plus de 3 500 habitants est de 54 ans. Idem pour ceux qui les élisent. Alors qu'ils représentent 20 % de la population, les retraités forment déjà 30 % des électeurs. Bref, la démocratie a les tempes blanchies. Or, quand les papy-boomers seront à la retraite, ils auront encore plus de temps. Ne vont-ils pas accaparer les affaires publiques à leur avantage ? Faut-il redouter une gérontocratie à la française ? « Fantasme ! » Jean-Philippe Viriot-Durandal, maître de conférences en sociologie à l'université de Franche-Comté, en est convaincu. Vieux ne veut pas forcément dire réac. Il en veut pour preuve deux exemples, décortiqués dans son livre. D'abord, la dernière élection présidentielle, où le vote pour le Front national fut autant le fait des jeunes électeurs que de leurs aînés. La preuve aussi avec l'adoption de l'euro. « Six mois après l'introduction définitive de la monnaie unique européenne, les nostalgiques du franc étaient à peine plus nombreux chez les plus de 65 ans que dans l'ensemble de la population – 53 %, contre 48 % », écrit le sociologue. Qui ajoute que « l'opposition entre les jeunes générations, ouvertes sur le monde et sur l'avenir, et les anciennes, rétives au changement et réfractaires à la nouveauté », ne serait que caricature.

A: La démographie électorale en France rajeunit, moins de la moitié des sénateurs ayant plus de 60 ans et l'âge moyen des maires des communes de plus de 3,500 habitants étant inférieur à 54 ans. 
            
            B: Selon le sociologue Jean-Philippe Viriot-Durandal, la perception des générations plus âgées plus opposées au changement et aux idées nouvelles par rapport aux plus jeunes est une véritable représentation de la dynamique sociétale actuelle en France.
            
            C: L'analyse de Jean-Philippe Viriot-Durandal suggère que les « papy-boomers », malgré leur âge, restent individualistes et prêts au changement, soulignant leur capacité propension à se reconstruire même bien après l'âge de la retraite.